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Reviews for Shantytown Kid: Le Gone du Chaaba

 Shantytown Kid magazine reviews

The average rating for Shantytown Kid: Le Gone du Chaaba based on 2 reviews is 3 stars.has a rating of 3 stars

Review # 1 was written on 2013-09-25 00:00:00
2007was given a rating of 3 stars Brittany Hartwell
Ce roman traite le chemin d'un jeune homme qui est face à sa jeunesse, qui avance jour par jour dans cette développement. Le chemin n'est surtout pas facile mais marqué avec nombreux événements encourageant qui donne du sens à la vie. Azouz est né en France. Ses parents sont d'origine algérienne et toute la famille habitent dans un bidonville, le Chaâba, dont le père Bouzid est le chef. Ils vivent ensemble avec la communauté algérienne dans des baraques près de Lyon. Azouz est différant de son frère et de ses mecs algériens. Autrement dit il aime lire des livres et il aime aller à l'école. En revanche il veut absolument faire partie de la bande Arabe du Chaâba. Avec ce dilemme il grandit. Tous les matins il se lève dans son environnement familier comme un gone du Chaâba. Il passe des heures entières avec les autres gones, au marché, en faire la chasse, en lançant des cailloux sur les voitures, dans lesquelles les putes travaillent et tas des autres bêtises. Par contre à l'école les Arabes de sa classe n'ont rien à rire. Tous les matins le maître se met à parler de morale. Les élèves français lèvent tous les doigts pour prendre la parole, pour montrer leur concordance morale. Les élèves français lui montrent chaque jour un monde inaccessible. Azouz se rends compte de son origine, un bidonville de baraques en planches et en tôles ondulées, et que ce sont les pauvres qui vivent de cette manière. C'est un des nombreuses humiliations qu'Azouz doit subir dans sa jeune vie entre les cultures algériennes et françaises. Analyse contenu L'histoire se démarre en plein milieu de la vie d'un petit garçon, Azouz. Donc les situations familiales, les relations amicales et les difficultés sociales tout s'installe pendant les premiers pages du livre avec des exemples vivante et impressionnant. En conséquence on s'immerge progressivement dans l'environnement du petit Azouz. Cette histoire est une autobiographie de l'auteur. Il raconte sa vie quand il était petit et habitait dans un bidonville. C'était un lieu pour une communauté Arabes d'environ 50 personnes. Certes c'était une vie différemment d'aujourd'hui concernant la pauvreté et la prospérité de ces familles mais les jeunes pouvaient aller à l'école. Analyse de style Il y a plusieurs styles d'écriture. En premier lieu la langue familière qui est parlé entre les gones, les mecs, les gars. Ça donne un style authentique dans la communication entre les jeunes. Exemple de mots : T'as les mouilles ? T'es con ! Ouais. Je sais pas, moi ! Pédé ! Puis il y a la langue « bouzidienne ». Ce sont des mots parler des natifs de Sétifs (Algérie). C'est Bouzid et la communauté qui parlent comme ça. Exemple de mots : La boulicia (la police), la tilifiziou (la télévision), la bart'mâ (l'appartement), li zbour (le sport). Attention aux faux amis : le filou, c'est un vélo ! En outre quelques passages sont très amusant et tellement drôles de lire. Cependant il y a plusieurs passages tristes ou avec de l'humiliation. Le lecteur suivi l'histoire attentivement à cause de ces changements d'événement et d'émotions. Il y a beaucoup de discours direct. Ce choix stylistique incite à la comparaison interculturelle et ça apporte beaucoup de dynamisme à l'histoire. Extrait Sur le chemin de l'école, avec les gones du Chaâba : -Halte ! Arrêtez-vous tous ! J'ai un truc à vous montrer. Le convoi stoppe. -Vous savez pas comment on fait pour embrasser une femme ? La foule, peu experte en la matière, reste muette, tandis que Moustaf tente de réagir, sans conviction : -Moi je sais. On se touche les bouches. -Non c'est pas ça, rétorque le cousin. Y a que moi qui sais. Vous voulez le savoir ? Aucune réaction. -Vous voulez pas le savoir ? Eh ben, vous l'saurez pas ! Il fait quelques pas en avant et nous fait face à nouveau. -J'vais vous le dire quand même. Eh ben, on ouvre la bouche et on met la langue dans la bouche de la femme ! Voilà ! Aucune réaction. -On se touche les langues, quoi ? C'est pas dur. On fait comme ça. Ouvrant le bras comme s'il tenait une femme, il penche la tête à droite et, de sa bouche fine, il sort une langue pointure et lui fait faire des grimaces dans tout les sens. Quelle étrange pratique ! Ils sont vraiment fous ces Romains. Heureusement qu'ils ne chiquent pas les boulettes de chemma. Le cours de Rabah a figé tout le monde. Le moniteur a senti la perplexité de l'auditoire, alors il s'approche de Saida pour passer aux travaux dirigés. -Bouge pas, Saida. On va leur montrer comment les Français s'embrassent. Surprise, puis déroutée, elle fait une volte-face instantanée, abandonne son cartable dans un buisson et s'enfuit, les jambes à son cou, chez elle. Je n'ai pas compris, ce qui s'est passé. Mais je ris à pleines dents en regardant Rabah s'esclaffer. Le convoi redémarre. Opinion personnelle Tout d'abord ce livre n'est pas intéressant pour les jeunes qui n'ont pas de racines Algériens. Les jeunes Suisse traitent la comparaison interculturelle, la pauvreté et l'injustice pendant toute leur carrière scolaire. Pourquoi alors lire et discuter de nouveau de ça ? Je suis convaincu qu'ils préfèrent d'agir concrètement pour faire quelque chose contre l'injustice. Ensuite ce livre ne permet pas une lecture à plusieurs niveaux. À mon avis c'est uniquement pour les bons lecteurs. Le niveau linguistique est élevé et ne correspond pas aux élèves de secondaire I. Le livre n'a pas des chapitres et il ne contient pas des illustrations qui soutiennent la lecture. Certes il existe un film mais la langue est quand même assez difficile. Somme toute l'histoire m'a très intéressé et m'a beaucoup apporté. Il est vrai qu'au début je me demandais, pourquoi il me raconte cette histoire ancienne ? Mais de plus en plus j'ai suivi attentivement la perspective d'Azouz et j'ai pris la position d'un jeune garçon qui a fait des expériences différent de moi-même. Finalement j'ai appris que la période de formation personnelle pendant la jeunesse a besoin d'un réseau social. La plupart de nos habilités se développe dans la vie quotidienne, donc il besoin l'accompagnement pour les jeunes. Premièrement pour amortir des défait et deuxièmement pour encourager de la nouvelle initiative.
Review # 2 was written on 2019-02-27 00:00:00
2007was given a rating of 3 stars Christina Veltema
Shantytown Kid is an autobiographical bildungsroman (well, kind of, because it doesn't trace the growth of the protagonist till adulthood but does treat of his formative years) written by a Frenchman with Algerian roots who grew to become a minister in the French government. I read it for a paper this semester and probably wouldn't have heard of it if not for that. The book was delightful for the most part, letting humour soften the blow of the harsh reality of growing as an Arab immigrant in a multicultural France. It's sometimes very insightful but at other times a bit lacking. The episodes which show how the kids treat and think of sex and women were quite disturbing to me, especially the nonchalance with which they were written. And the book also came to an abrupt end. But there are certainly some episodes that I will remember fondly. We'll see if reading around the text (that is, critical material on it) will make me appreciate it more than I do now - that does seem to happen to me often.


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