Photo May 1998

Couverture Photo fête les 90 ans d’Henri Cartier-Bresson/Magnum et vous propose quatre couverture Londres Londres célèbre un photographe français et deviens la capitale d’Henri par Olivier Poivre d’Arvor
Chine HCB était en Chine pour l’avènement de la République populaire. Son récit du 1er voyage.
Inde Un des pays le plus cher au cœur d’Henri Cartier-Bresson. Ses photos accompagnées de ses récits. Japon En 1965, Henri a passé trois mois au Japon. En lisant sa lettre, on est avec lui sur le terrain.
EROS Pour vous présenter ce thème esquissé par Henri Cartier-Bresson, il a choisi de l’accompagner du texte de son grand ami André Pieyre de Mandiargues. En quelques mots justes, la méthode d’Henri.
URSS En 1954, Henri Cartier-Bresson est le premier photographe admis en Urss après la détente. Et Henri précise dans son texte : « J’ai essayé de saisir une image directe du peuple de Moscou sans sa vie journalière et dans ses relations humaines. »
Des Européens Un parcours sur les traces d’Henri Carier-Bresson dans notre continent. En 1955, Tériade concevait l’albim « Des Européens », et en 1997, Maurice Coriat plongeait dans ses archives pour en extraire les images qui seront exposées à la MEP.
La Liberation Pour couvrir la Libération, Henri Cartier-Bresson, et ses collègues, ont dû multiplier les astuces pour faire de la pellicule. Les tirages dépendent alors de la distribution d’eau et de la pression du gaz…Des photos pour l’Histoire.
Dessin Depuis 1974, HCB a changé d’outil et se consacre au dessin Texte de Jean Leymarie
Etats-Unis En 1946, HCB s’installe plus d’un an aux USA. Observation des photos par Arthur Miller.
Mexique Son expédition ethnographique au Mexique. L’écrivain Carlos Fuentes a ressenti l’éternité mexicaine d’HCB.
Cuba En 1963, HCB est à Cuba pour Life. Ses observations, ses rencontres avec Fidel Castro et Che Guevara…
Tête à Tête Le portrait est pour Henri Cartier-Bresson ce qui lui est le plus difficile à faire.
HCB : les coulisses La technique, le labo, ses plus grandes publications commentées par Roger Thérond et Magnum racontée par Elliott Erwitt.